Ignace 10/12/2008 - 21/12/2010

par **KlaRA Desgaspards** Jeu 23 Déc - 21:40

Ignace 10/12/2008 - 21/12/2010

Il me fallait trouver un compagnon pour le petit Barnabé qui allait bientôt arriver chez nous.
Je veux un dumbo m'avait dit mon bonhomme.
Bon cherchons un dumbo sur le net.
Refuges, sites d'adoptions, éleveurs..........rien.

Après plusieurs semaines et la date de l'arrivée de Barnabé étant proche, je trouve enfin une annonce d'un petit mâle à adopter.......un dumbo.
Le soir j'en parle et je montre la photo.
"C'est celui-là que je veux" réponse immédiate du bonhomme.
Je répond à l'annonce, espérant qu'il ne soit pas déjà pris, car l'annonce n'est pas récente.

Superdoudou me répond qu'il est toujours disponible et que d'ailleurs ce soir elle comptait retirer cette annonce et le garder pour elle, mais que si je corresponds au profil d'adoptant qu'elle recherche, il serait pour moi.
Suit une petite enquête pour savoir qui je suis et un grand questionnaire pour voir si je serais une bonne adoptante.
Je réussi l'examen et nous convenons d'une date et d'un lieu pour me confier le petit malou.
Ce sera le 8 mars 2009 chez Alisha où je vais chercher mon Barnabé.

Ce jour là, Ignace, rentre dans notre vie, en même temps que Barnabé.

Hélas, dés la première rencontre, Ignace empoigne Barnabé.
Après des semaines passées à faire des rencontres dans tous les coins de mon appartement, Superdoudou me propose de faire l'intégration chez elle.
Cela fut fait et réussi. Hélas pas pour longtemps, les bagarres continuèrent jusqu'au jour ou Barnabé fut blessé.
Tous deux furent castrés.

Et c'est ainsi que la paix se fit entre eux.
Enfin nous avons vécu de merveilleux instants avec nos deux ratous.

Ignace tu fus le grand ami de mon bonhomme. Près de lui à tout moment, tu restais des heures sur sa chaise de bureau, tu partageais son petit-déjeuner, tu kreukreutais dans son sweat-shirt le soir devant la télé.
Et le matin, perché sur mon épaule ou sur la sienne, tu l'accompagnais jusqu'à l'ascenseur pour le voir partir au boulot. Quelque fois je t'ai même vu attendre devant la porte par ou il partait.

Tu répondais toujours lorsque l'on t'appelait connaissant parfaitement ton nom, nous suivais souvent au travers de l'appartement. Tu étais intelligent, tu avais du caractère, une personnalité, il ne te manquait que la parole.
Hélas cela fut bref. Ce jour ton histoire est déjà terminée. Tes derniers moments furent pénibles.

Sache que jamais nous ne t'oublierons, tu nous manques déjà tellement.
Quel vide tu nous laisses.........Petit bonhomme.